Deux mille quinze

  
C’est un classique, au mois de décembre, nous sommes censés dresser un bilan de l’année qui vient de s’écouler. C’est le moment propice à un peu de réflexion, histoire de voir ce qu’on a fait, ce qu’on aurait peut-être pu faire et ce qu’on fera à l’avenir. 

Mais en fait, je n’ai pas envie de le faire. J’ai déjà pris le parti de me dire que les choses sont comme elles sont. Et de partir du principe que j’ai fait le mieux possible. Je réalise qu’un tel principe de vie pourrait rendre à l’immobilisme ou au défaitisme. Mais chez moi ce n’est pas le cas en tout cas. 

Pour être très précise, il s’agit d’une forme de stoïcisme comme il a pu être développé par Marc Aurèle et ses compères (je le cite parce qu’il est plus connu, c’est l’empereur dans Gladiator). En regardant en gros, ça pourrait se rapprocher des théories zen.

Fais ce que tu peux avec ce que tu as, vas au bout de tes possibilités, et  lâche prise sur les choses que tu ne peux pas contrôler. 

Alors l’année 2015 m’a permise de mettre en pratique cette philosophie de manière très concrète. Et c’est peut être pour ça que malgré tout le contexte national et international hyper dur et désenchantant, ça a été une belle année. 
Et mon côté d’incorrigible positive se dit qu’on peut espérer qu’au niveau karmique, l’année 2015 ait suffisamment encaissé pour que 2016 soit plus cool. 

On verra bien. Si chacun fait le maximum à son échelle, les choses peuvent évoluer. Et pour le reste il faut se souvenir que la vie est une fête !

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