Voyage en train

  C’est cool le train pour voyager, on arrive directement en ville. Mais avec des enfants, ça peut se révéler être un défi. 

Tant qu’ils sont petits et que leurs activités principales consistent à manger et dormir, ça va c’est facile surtout si on est deux. Mais quand ils ont au hasard trois ans et un peu plus de dix-huit mois, il faut les occuper. 

Heureusement, je commence à avoir l’habitude et je sais qu’il ne faut pas hésiter à prendre beaucoup juste pour le voyage. 

Cette fois-ci j’ai eu l’idée de les laisser remplir leurs sacs-à-dos des jouets et livres qu’ils voulaient emmener. Ils étaient contents de participer à la préparation du voyage et comme ils portent leur sac, ça ne me charge pas plus. Et dans le train, il faut juste faire attention au fur et à mesure qu’une voiture n’aille pas rouler à l’autre bout du wagon. 

Je leur avais pris aussi quelques surprises en prévision du moment où ils n’auraient plus envie de ce qu’il y avait dans aucun des sacs. Leurs cahiers et des gommettes. Des Peppa Pig, alors j’ai marqué des points ! J’essaie d’avoir toujours un petit truc comme ça sous le coude parce que ça fait comme un petit événement et on repart vraiment de zéro. 

Patience, organisation et snacks

Il y a les petits tours qu’on fait dans le train. Et dans un TGV à deux étages c’est vraiment magique pour les enfants. On les laisse aussi traîner dans les wagons. Ils n’ouvrent pas les portes, ne crient pas, et ils se sentent grands comme ça. Il faut dire que nous avions la chance de voyager dans un train peu chargé et que ça laissait des places libres pour jouer à voyager seul. 

Et enfin, il y a les encas. En général, je prends un peu ce qui traîne à la maison. Hier c’était des gâteaux, des petites bouteilles de jus et la fin des pirojkis. Et en plus de l’eau. L’idée c’est de pouvoir les distraire un peu avec de la nourriture, mais aussi de prévoir le coup au cas où le train aurait beaucoup de retard (ça arrive), de ne pas se retrouver avec des enfants qui ont faim parce que ça devient difficile à gérer. 

Et surtout quand même, il y a la joie de regarder le paysage par la fenêtre. De voir des vaches, des châteaux, des machines. C’est aussi une super occupation. 

On recommence demain dans l’autre sens, il va falloir aller chercher des nouvelles gommettes je crois ! 

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