Ça fait quelques années que le diffuseur est entré chez nous et c’est un objet que j’adore et que j’utilise au quotidien, surtout en hiver. Dès que j’aperçois un nez qui coule, je mets quelques gouttes de ravintsara dans le diffuseur et je le laisse dans la salle de bain pour que la vapeur du diffuseur se mélange à la vapeur d’eau de la baignoire, ou bien je le mets dans la salle de jeu ou encore dans la chambre des enfants avant qu’ils aillent se coucher.
Je fais aussi un peu des mélanges et parfois j’y rajoute un peu de lavande histoire de bien détendre tout le monde (et surtout les enfants), et de parfumer l’appartement. Récemment j’ai ajouté à mon tout petit arsenal l’arbre à thé et j’aime bien le mélange des trois.
Je le mets aussi dans ma chambre ou dans le salon, c’est devenu une habitude.
Alors attention, je ne suis absolument pas aromathérapeute, je fais ça un peu toute seule. Je me suis fait conseiller un peu et j’ai fait quelques tests. Mon esprit cartésien ne me permet pas vraiment d’appréhender tous les tenants et aboutissants de l’efficacité des huiles essentielles. Mais c’est efficace, et souvent très rapidement. Pour moi c’est du même ordre que l’homéopathie. Ça intervient plus en prévention, dès les premiers signes. Mais comme pourtour, c’est aussi en restant à l’écoute de nos symptômes, qu’il s’agisse d’un mal de gorge ou d’un peu d’anxiété, en les regardant en face et en prenant les choses en main qu’on peut intervenir avant que ça empire.
On pourrait en discuter et échanger nos habitudes, ce serait cool. Moi j’utilise surtout les huiles essentielles dans le diffuseur, mais je vous livre avant de partir quelques autres utilisations du quotidien : le ravintsara dès que la lèvre picote comme si un bouton de fièvre allait sortir, la lavande sur les doudous ou sur un mouchoir pour que ça parfume toute la chambre, et dernière addition une goutte d’arbre à thé sous la langue quand la gorge pique (ce n’est vraiment pas bon, mais très efficace).