Pour la boisson alcoolisée nous avons décidé de nous débrouiller. Nous savions ce que nous voulions et préférions ne pas passer par le traiteur. D’un point de vue financier, c’est aussi une vraie économie quand il n’y a pas d’intermédiaire. Mais il faut donc s’en charger.
Le vin s’est en réalité mon père qui s’en ai occupé, je n’ai même rien eu à faire, si ce n’est dire ce que je voulais. Du vin rouge de Cahors, celui que nous avons découvert ensemble avec Arnaud lors de son premier séjour dans la maison familiale corrézienne.
Surtout, surtout, je voulais des bulles et nous avons choisi ce vin pétillant de la Loire je crois que nous aimons beaucoup et que mes parents servent souvent. Ce n’est pas du champagne, mais l’effet est le même, le prix est simplement moindre (et même si n’avions passe budget préétabli, nous ne voulions pas faire sauter la banque).
Nous avons aussi pris une tireuse à bière et de la bière locale, la blonde de la Plaine, pour l’ambiance cool.
Encore une fois, c’était important pour nous de soutenir des producteurs dont nous connaissons et apprécions le travail. Quitte à dépenser, autant choisir où va l’argent