Il ne s’agit pas d’Arielle, mais de ce mini sac. Même s’ils sont étroitement liés puisque je l’ai acheté à la maternité. Je cherchais un mini sac depuis quelques semaines et j’allais me replier sur un sac Zara quand une vente privée Liberty s’est présentée. J’aurais eu un garçon je ne l’aurais peut-être pas acheté, mais là je me suis dit qu’en plus un jour elle pourrait l’avoir. Si j’avais eu un garçon, j’aurais sûrement trouvé une autre excuse, soyons honnêtes !
En ce moment, j’adore les mini sacs. Je n’en ai pas plein, par contre. En fait j’en ai deux avec celui-là. Et l’autre, je l’avais acheté quand j’étais enceinte de Jasmin.
C’est le seul moyen que j’ai trouvé de pouvoir me promener léger. Tout en ayant mon téléphone, mes écouteurs, les quelques cartes dont j’ai besoin au quotidien et mon porte-monnaie. Et quand j’y pense, mes clés aussi.
Mais là, j’en avai marre de mon petit sac Brontibay. J’en voulais un nouveau. Et un vraiment aussi petit. Parce qu’avec une toute petite avec moi, je n’ai pas besoin de me charger encore plus d’un sac ne fera que se remplir un peu plus chaque jour. C’est marrant non cette loi de la vie qui veut qu’un sac ne peut que se remplir, comme s’il le faisait tout seul, dans notre dos.
Dans un grand sac, ou même un sac moyen, on trouve vite des goûters (parfois entamés, parfois sans emballage), des jouets, des feutres, des vieux mouchoirs, trois rouges à lèvres et qu’être paquets de mouchoirs, deux vieux journaux et un livre. Et parfois plus.
Au moins dans ce sac je n’ai que l’essentiel et j’aime ça. Alors vie sûre, j’ai souvent besoin d’autres choses et justement de transporter un goûter ou même des couches. Alors je jongle avec des sacs en plus. Des totes bags dans lesquels je glisse mes sacs Monoprix préférés.
Alors je commence en général la journée plutôt légère, mais entre une visite à la bibliothèque et un tour au marché, je me retrouve vite chargée comme un mulet et c’est là que je suis contente de n’avoir qu’un tout petit sac. En plus j’y trouve mes clés presque tout de suite, sauf si je les ai oublié à l’intérieur, mais c’est une autre histoire.