La joie

La joie est mon émotion préférée. Et comme les autres, c’est une émotion qui peut se travailler. On peut s’entraîner à la ressentir et à la voir partout.

La joie est là même qu’il s’agisse d’un petit truc ou d’un grand événement. Comme si les lumières allumées dans le cerveau étaient les mêmes quelque soit la cause de la joie.

Ça peut être un bon café, un rayon de soleil, un moment avec des copains, un câlin avec mes enfants, une soirée en amoureux ou une rencontre inopinée dans la rue.

La joie est un absolu

Pour moi c’est un choix à faire où l’on se concentre sur le positif. J’ai décidé de voir la vie en rose. Et à force ça devient un réflexe, comme un automatisme. Quand je marche dans la rue, ce sont des pensées heureuses qui me viennent. Ma première intention est toujours le sourire. Je ris aussi beaucoup, et souvent fort. Et un truc qui est bien avec la joie, c’est qu’elle est qu’elle se communique très bien. Essayez vous verrez que ça marche.

Contaminez-vous d’abord puis vous pourrez contaminer les autres.

3 Comments

  1. Béapic

    Ca me rappelle un poème que j’aimais quand j’étais jeune.
    Tiré du Livre du Lézard, un recueil de textes qu’on lisait chez les Scouts (où je ne suis jamais allée).

    LES DEUX JOIES
    II y a la joie qui vient du dehors
    et il y a celle qui vient du dedans.
    Je voudrais que les deux soient tiennes
    Qu’elles remplissent les heures de ton jour
    Et les jours de ta vie ;
    Car lorsque les deux se rencontrent
    et s’unissent,
    II y a un tel chant d’allégresse que ni le
    chant de l’alouette
    ni celui du rossignol
    ne peuvent s’y comparer.
    Mais si une seule devait t’appartenir,
    Si pour toi je devais choisir,
    Je choisirais la joie qui vient du dedans.
    Parce que la joie qui vient du dehors est
    comme le soleil qui se lève le matin et qui, le soir, se couche.
    Comme l’arc-en-ciel qui paraît et disparaît.
    Comme la chaleur de l’été qui vient il se retire.
    Comme le vent qui souffle et passe.
    Comme le feu qui brûle puis s’éteint…
    Trop éphémère, trop fugitive…
    J’aime les joies du dehors.
    Je n’en renie aucune.
    Toutes, elles sont venues dans ma vie
    quand il le fallait…
    Mais j’ai besoin de quelque chose qui dure,
    De quelque chose qui n’a pas de fin,
    Qui ne peut pas finir.
    Et la joie du dedans ne peut pas finir.
    Elle est comme une rivière tranquille,
    toujours la même,
    toujours présente.
    Elle est comme le rocher,
    comme le ciel et la terre qui ne peuvent ni changer ni passer.
    Je la trouve aux heures de silence

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