Un peu comme une suite à mon article où je me demandais si nous étions destinés à devenir nos parents (à retrouver ici), j’ai réalisé que cette situation de prise de conscience s’appliquait à d’autres domaines.
Accepter consciemment c’est assumer mes doutes et les choses qui me font peur. C’est décider qu’il n’y a pas de honte à ça et se dire que rien n’est irréversible. Être libre en fait !
J’accepte mes doutes et mes failles, Et ils ne me définissent pas. En les refoulant et en ne les regardant pas En face je leur permettrais de grandir secrètement.
Je prends deux exemples. Le premier c’est quand j’ai eu un coup de mou l’autre jour. Parfois je le garde pour moi parce que j’ai honte de me sentir mal. Mais ce jour-là j’avais décidé de partager. Et ça a eu un côté vraiment libérateur. En disant que je me sentais mal dans ma tête à cet instant ça devenait un instant justement, circonscrit. Je ne permettais pas à cet état de me définir.
Le deuxième exemple concerne le sport. L’idée de réduire mon activité m’a un instant angoissée, mais plutôt que de refouler ce sentiment parce que j’ai honte (encore!) de me sentir mal dans ma peau parfois je l’ai simplement verbalisée. Et poser des mots simples sur mon angoisse lui a ôté tout pouvoir sur moi.
La morale ? Je décide et j’ai le droit d’avoir des doutes sans pour autant tout remettre en question. Et si vous essayiez ? Envoyez-moi un message ou commentez et ressentez le pouvoir libérateur de l’acceptation 🙂
ici), j’ai réalisé que cette situation de prise de conscience s’appliquait à d’autres domaines.
Accepter consciemment c’est assumer mes doutes et les choses qui me font peur. C’est décider qu’il n’y a pas de honte à ça et se dire que rien n’est irréversible. Être libre en fait !
J’accepte mes doutes et mes failles, Et ils ne me définissent pas. En les refoulant et en ne les regardant pas En face je leur permettrais de grandir secrètement.
Je prends deux exemples. Le premier c’est quand j’ai eu un coup de mou l’autre jour. Parfois je le garde pour moi parce que j’ai honte de me sentir mal. Mais ce jour-là j’avais décidé de partager. Et ça a eu un côté vraiment libérateur. En disant que je me sentais mal dans ma tête à cet instant ça devenait un instant justement, circonscrit. Je ne permettais pas à cet état de me définir.
Le deuxième exemple concerne le sport. L’idée de réduire mon activité m’a un instant angoissée, mais plutôt que de refouler ce sentiment parce que j’ai honte (encore!) de me sentir mal dans ma peau parfois je l’ai simplement verbalisée. Et poser des mots simples sur mon angoisse lui a ôté tout pouvoir sur moi.
La morale ? Je décide et j’ai le droit d’avoir des doutes sans pour autant tout remettre en question. Et si vous essayiez ? Envoyez-moi un message ou commentez et ressentez le pouvoir libérateur de l’acceptation 🙂