Encore une série ! Mais je peux déjà vous dire que je vais avoir beaucoup moins de temps maintenant que les enfants sont revenus, mon rythme va naturellement ralentir et j’aurais moins de recommandations à vous faire.
Alors, il s’agit de Valeria. Un genre de Sex and the City madrilène. Une amie me l’a recommandé pour le côté léger et je crois que ça m’a finalement plus touchée que ce à quoi je m’attendais.
Le personnage principal, Valeria est une aspirante écrivaine en mal d’inspiration et rongée par le syndrome de l’imposteur (impostrice? Imposteuse ? Imposteure? En espagnol c’est plus simple on dit impostora) et je dois dire que ça m’a pas mal parlé. Je crois que quand on écrit ce sont des questions qui reviennent souvent pour ne pas dire tout le temps. Et j’avais commencé à écrire un roman il y a quelques mois que j’ai arrêté pour les mêmes raisons que Valeria dans la série : qui peut être intéressé par ce que j’ai à dire ? Je n’ai pas vraiment trouvé de réponse mais c’est une réflexion qui est relancée.
J’ai bien aimé l’ambiance bande de filles. J’ai bien aimé l’atmosphère très almodovarienne très colorée et un peu osée. J’ai trouvé que c’était une série qui décrivait bien l’état d’esprit de cette génération européenne dont je fais partie.
Autant vous dire que j’espère qu’il y aura une saison 2 🙂
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