Extérioriser

Depuis quelques temps j’extériorise beaucoup plus, c’est un truc que j’en ai appris à faire, je me dis c’est l’effet Marseille. Il y a les vraies émotions, les sérieuses (la peine, la joie, etc.), mais aussi toutes les petites choses.

Par exemple, avant quand je devais entrer dans une eau à moins de 25 degrés, je serrai les dents et je me répétais à l’intérieur que c’était froid, trop froid, que je n’y arriverais jamais.

L’année dernière, j’ai changé d’attitude. Ce n’était pas calculé, c’est juste sorti et c’était bien agréable. Je commentais le froid et que c’était pas possible, inhumain. Et au moment d’entrer dans l’eau, j’ai crié.

Avant, j’aurais pensé que ça ne changeait rien et que le froid était le même qu’on le garde dedans ou qu’on le partage avec les gens autour. Mais désormais je pense que c’est plus facile quand tout est sorti. En plus en général les gens autour ont aussi froid que moi et finalement on peut s’encourager. Ou s’ils n’ont pas froid ils peuvent me motiver.

Et c’est un peu en voyant les bénéfices tirés de cette petite expérience que j’ai décidé de continuer et d’appliquer cette attitude à d’autres aspects de ma vie.

Quand on s’ouvre aux autres, on s’ouvre aussi à tous le reste

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