La disparue de la cabine no 10

Commencé dimanche soir fini mardi matin. Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu aussi vite un livre. Et plus de 300 pages s’il vous plaît ! Être sans les enfants a aidé, mais c’est aussi que je n’arrivais pas à le lâcher.

C’est un polar alors je ne vais pas trop en dire mais pour moi c’était un peu la rencontre entre Agatha Christie pour le côté huis-clos, Gone girl pour le côté angoisse, et Bridget Jones pour le côté fille de la vraie vie.

Quand j’irai le rendre à la bibliothèque je regarderai s’il n’y a pas l’autre livre de l’autrice en rayon.

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